Laure et Marie veulent a tout prix empêcher leur père de vendre l’Agapanthe, leur maison d’enfance, une villa de rêve située au Cap d’Antibes. Elles vont donc organiser un casting de » prétendants » destinés à épouser l’une ou l’autre, afin de sauver cette demeure. Tel est le point de départ de cette comédie où les deux soeurs se laissent prendre au jeu de l’amour et du hasard. Deux mondes s’affrontent : la haute société et les nouveaux riches; on y croise des starlettes, des banquiers aux dents longues et des milliardaires américains aux manies bizarres. Toute une galerie de personnages sympathiques ou comiques, souvent dévorés par la prétention.
L’Agapanthe restera-t-elle dans la famille ? Quel » prétendant » l’emportera?
Revue de presse

"Cécile a l'art de dire les choses graves avec légèreté. Sous sa plume élégante perce la nostalgie de cette grande bourgeoisie qui cultivait art de la conversation, culture et bonnes manières."
Emmanuelle de Boysson, Marie Claire

"Elle y croque avec tendresse et férocité les travers des élites d'hier et d'aujourd'hui."
Adélaïde de Clermont Tonnerre, Point de Vue
"Un roman en forme d'étude sur les mœurs d'une classe sociale qui, finalement, n'est plus à l'abri qu'une autre sous les lambris dorés de ses belles villégiatures..."
Patrick Beaumont, La Gazette Nord-Pas de Calais

"Chez Grasset, Cécile David-Weill raconte dans Les Prétendants l'histoire de deux sœurs qui tentent d'empêcher leur père de vendre leur maison de famille en organisant un casting de riches prétendants das l'espoir que l'un deux sauve la maison."
Véronique Beaudet, Le Journal de Montréal
[Un récit] qui a la force d'un travail d’anthropologue et se lit comme un traité d'entomologie sur les insectes inconnus. Ces Prétendants sont captivants.
Corsica

"Ce roman brillant, intelligent et drôle raconte comment deux sœurs organisent leur pêche au mari (...) Les ploucs y prendront un délicieux plaisir d’ethnologue. Instructif et snob !
Hervé Bertho, Ouest France

"Une belle comédie de mœurs. Drôle et cruelle."
A. C-H, Nice Matin

"Un dictionnaire très chic des vanités, une plongée grinçante dans l'univers d'une bourgeoisie fortunée."
IS. de Montvert-Chaussy, Sud Ouest Dimanche
Les Prétendants est une véritable comédie de mœurs. Un dîner, la réplique d'un invité viennent révéler la fiction du réel soigneusement contrôlée par les parents. Dans cet univers formaliste, saturé de codes, c'est avec une obstination capricieuse que les deux sœurs essaient de saisir ce qui fait l'essence de l"Agapanthe.
Julien Pessot, La Revue littéraire

« Si vous vous êtes déjà demandé ce que donnerait Downton Abbey si l’action se déroulait aujourd’hui dans le sud de la France, alors lisez ce roman galant sans perdre une minute. »
Leigh Newman, Oprah.com
« Un aperçu délicieusement intime des frasques des très, très riches sur la Cote d’Azur. J’ai ri à chaque page. Mais ne vous y laissez pas prendre: Les prétendants est avant tout une méditation sur l’inévitabilité du changement. »
Patricia Volk
« La structure des Prétendants est grisante, avec ses menus, ses horaires d’arrivées des visiteurs, ses plans de table et autres pages spéciales qui en font un objet enchanteur à avoir entre les mains. »
Mary’s Library

« Elle est désarmante et pleine d’esprit, et nous sert de guide charmant dans le monde des très grandes fortunes… et de ceux qui n’en ont plus. »
G. Clay Whittaker, The Daily Beast

« Les Prétendants » est le digne héritier de Nancy Mitford et de ses best-sellers qui exposent les petites manies de l’aristocratie britannique.
Moira Hodgson, Bookreporters.com

« Deux héritières de très bonne famille cherchent un homme idéal pour sauver de la faillite la villa de leur enfance. Une plongée réussie dans un milieu so chic, décrypté avec humour par Cécile David-Weill . Valérie Lemercier, réalisatrice du très aristocratique « Palais royal ! », a craqué pour ces drôles de « Prétendants ».
ELLE

« Avec le sourire angélique des enfants qui posent des coussins péteurs sur les chaises et s’en tirent sans dommages, Cécile David-Weill, fille de l’héritier de la banque Lazard, a lancé un pétard dans la poularde Mancini en publiant un roman qui n’en finit pas de donner du fil à retordre aux serruriers des VIe et VIIe arrondissements parisiens. Les Prétendants est en effet « le » roman à clé de l’année, évoquant une célèbre maison de vacances du cap d’Antibes »
Élisabeth Quin, Madame Figaro

« On attendait ce livre depuis « Barnabooth » et Valery Larbaud. Voici enfin des milliardaires qui ne s’excusent pas de l’être. Mieux encore : au lieu de plaider coupables, ils s’amusent du spectacle offert par ceux qui les approchent. A Paris, dans la capitale mondiale de la repentance, rien n’est plus rafraîchissant que cette plongée dans un bain de cynisme bon chic, bon genre. » Thierry Rateau, Paris Match
Thierry Rateau, Paris Match

« L’idée de ce huis clos chez les ultra riches, impitoyable sous ses airs charmants (…) est excellente (on voit déjà le film) et la réalisation brillante : c’est Vanity Fair qui rencontre La Règle du jeu. »